Africa Blog
Google in Sub-Saharan Africa: news, stories and thoughts
Google Translate - now in 80 languages (Zulu, Hausa, Yoruba, Igbo and Somali launched)
Wednesday, December 11, 2013
Whether you’re trekking to a new place or simply trying to communicate with someone who doesn’t share a language with you,
Google Translate
can help you connect to new information and people. Today, we’re launching 9 new languages that span Africa, Asia, and Oceania and have over 200 million native speakers, collectively.
Spotlight on our new African languages
In Africa, we’re adding Somali, Zulu, and the 3 major languages of Nigeria.
Hausa (Harshen Hausa), spoken in Nigeria and neighboring countries with 35 million native speakers
Igbo (Asụsụ Igbo) spoken in Nigeria with 25 million native speakers
Yoruba (èdè Yorùbá) spoken in Nigeria and neighboring countries with 28 million native speakers
Somali (Af-Soomaali) spoken in Somalia and other countries around the Horn of Africa with 17 million native speakers
Zulu (isiZulu) spoken in South Africa and other south-western African countries with 10 million native speakers
Zulu on the Google Translate desktop web app
Igbo on the Google Translate Android app
There are lots of languages in Africa, and this is the largest expansion into African languages to date (Google Translate supports Swahili and Afrikaans already). The more language is used on the web, the higher chances for us to launch it one day
Throughout Asia, we’re launching languages spoken in Mongolia and South Asia, and thanks to the
volunteer effort of passionate native speakers
in New Zealand, we’re adding the language of the Maori people.
You can help to add your language to Google Translate. Although Google Translate is an automatic tool, a new language sometimes needs a little love from native speakers to get off the ground. You can help launch your language by volunteering to help us gather and translate texts in your language. Sign up with
this form
. We’re also constantly fine-tuning our translations. You can help with these efforts by clicking the translated text and editing it to be correct.
As always, we realize that we’re just getting started and have a long way to go. But hopefully these new languages in Translate help you to connect with new friends and new cultures.
Posted by Arne Mauser, Software Engineer
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Google Traduction - 5 nouvelles langues africaines désormais disponibles !
Que vous soyez en excursion dans un nouveau pays ou que vous cherchiez simplement à communiquer avec quelqu'un qui ne parle pas votre langue, Google Traduction peut vous aider à accéder à de nouvelles informations et à entrer en contact avec de nouvelles personnes. Aujourd'hui, nous inaugurons 9 nouvelles langues couvrant l'Afrique, l'Asie et l'Océanie et représentant plus de 200 millions de locuteurs natifs.
Pleins feux sur nos nouvelles langues
En Afrique, nous ajoutons le somali, le zoulou ainsi que les 3 principales langues du Nigeria.
Le haoussa (Harshen Hausa), parlé au Nigeria et dans les pays voisins par 35 millions de locuteurs natifs.
L'igbo (Asusu Igbo) parlé au Nigeria par 25 millions de locuteurs natifs.
Le yoruba (èdè Yorùbá) parlé au Nigeria et dans les pays voisins par 28 millions de locuteurs natifs.
Le somali (Af-Soomaali) parlé en Somalie et dans d'autres pays de la corne de l'Afrique par 17 millions de locuteurs natifs.
Le zoulou (isiZulu) parlé en Afrique du sud et dans d'autres pays d'Afrique du sud-ouest par 10 millions de locuteurs natifs.
Il existe de nombreuses langues en Afrique et il s'agit ici de la plus grande expansion de langues africaines à ce jour (Google Traduction propose déjà le swahili et l'afrikaans). Plus une langue est utilisée sur le web, plus il y a de chances que nous l'inaugurions un jour.
Vous pouvez contribuer à ce que votre langue soit ajoutée à Google Traduction
Google Traduction est un outil automatique, mais il faut parfois un petit coup de pouce de la part des locuteurs natifs pour donner à une nouvelle langue la place qu'elle mérite. Vous pouvez contribuer à promouvoir votre langue en nous aidant bénévolement à regrouper et à traduire des textes dans votre langue. Inscrivez-vous sur
ce formulaire
. Nous améliorons également nos traductions régulièrement. Vous pouvez contribuer à cet effort en cliquant sur le texte traduit et en le modifiant pour qu'il soit correct.
Comme toujours, nous sommes conscients que ce n'est qu'un début et qu'il reste encore un long chemin à parcourir. Nous espérons que ces nouvelles langues disponibles sur Google Traduction vous aideront à entrer en contact avec de nouveaux amis et de nouvelles cultures.
Publié par Kaushik Sridharan, ingénieur logiciel.
Launching Project Link: a new way to bring faster, more reliable Internet access to Uganda
Wednesday, November 20, 2013
Africa is home to more than a billion people and is also the fastest growing continent. But only 16% of people are connected to the Internet. That leaves a huge population without access to new opportunities, such as a reliable channel to the latest news, a tool to join in worldwide commerce, or a platform to create and contribute photos, video, and more. This is true even in Africa’s bustling cities, such as Kampala, Uganda.
For the nearly 3 million people living in and around Kampala, the Internet hasn’t been as fast and available as it could be; online activity often sputters on pre-broadband speeds or unreliable connections. That’s why today, we’re announcing
Project Link
, an initiative to build a super-fast, high-capacity fiber network to enable any local mobile operator or Internet service provider (ISP) to connect more people in Kampala to a faster, more reliable Internet.
Project Link’s network is available today to connect providers to long-distance fiber lines, equipping them with near-unlimited capacity to build and expand services to Ugandans. By making this connection, we’re strengthening a crucial piece of the Internet supply chain. Some parts of the chain are already strong: undersea cables are bringing data to Africa’s shores and mobile providers are expanding services across the continent. We’ve now built quality infrastructure in between these points to deliver the speed and capacity that supports the latest and greatest of the web.
Project Link goes beyond basic access; it enables local providers to offer new mobile data plans or high-speed Internet for office buildings and universities, and support newer technologies as they come to market. For Kampala, we hope it’s a foundation to support the needs of a new crop of entrepreneurs and innovators: the media-rich projects of a successful musician, fast connections for local hospitals, or new digital learning tools for students.
As more of Africa comes online, the Web will grow stronger and richer from the contributions of a growing population. Project Link isn’t just about connecting fiber cables. It’s about connecting the people of Kampala and giving them an opportunity to contribute to a truly global Internet.
Posted by Kai Wulff, Access Field Director
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Lancement de Project Link : un nouveau moyen de fournir à l'Ouganda un accès à Internet plus rapide et plus fiable
L'Afrique compte plus d'un milliard d'habitants et c'est aussi le continent dont la croissance est la plus rapide. Mais seuls 16 % des Africains sont connectés à Internet. Ce qui signifie qu'une énorme partie de la population n'a pas accès aux nouvelles opportunités, tels qu'un canal fiable pour accéder aux dernières infos, un outil pour participer au commerce international ou une plate-forme pour créer, partager ou commenter des photos, des vidéos, etc. Et cela est vrai même dans les villes débordantes d'activités, telles que Kampala, en Ouganda.
Pour les quelque 3 millions de personnes vivant à Kampala et ses faubourgs, la vitesse et la disponibilité d'Internet laissent toujours à désirer ; les activités en ligne sont souvent ralenties par la lenteur du débit ou une connexion non fiable. C'est pourquoi nous annonçons aujourd'hui le lancement de Project Link, une initiative pour bâtir un réseau fibre à très haut débit et très grande capacité pour offrir à n'importe quel opérateur mobile ou fournisseur d'accès à Internet (FAI) la possibilité de connecter davantage de résidents de Kampala à un Internet plus rapide et plus fiable.
Le réseau Project Link est d'ores et déjà disponible pour connecter les fournisseurs d'accès à des lignes en fibre longue distance, leur offrant une capacité quasi-illimitée de développer des services à destination des Ougandais. En effectuant cette connexion, nous renforçons un maillon essentiel de la chaîne d'accès à Internet. Certains maillons de la chaîne sont d'ores et déjà bien implantés : des câbles sous-marins transportent les données jusqu'aux côtes africaines et les opérateurs mobiles proposent leurs services sur l'ensemble du continent. Nous avons à présent construit une infrastructure de qualité entre ces points pour proposer le débit et la capacité requis pour prendre en charge le meilleur du Web.
Project Link va au-delà du simple accès ; il permet aux fournisseurs locaux de proposer de nouvelles offres de données mobiles ou des accès Internet haut débit pour les immeubles de bureaux et les universités, et de prendre en charge les nouvelles technologies au fur et à mesure de leur mise sur le marché. Pour Kampala, nous espérons que cela constituera une base pour répondre aux besoins d'une nouvelle génération d'entrepreneurs et d'innovateurs : les projets riches en contenu médiatique d'un musicien à succès, des connexions haut débit pour les hôpitaux locaux ou encore de nouveaux outils d'apprentissage numérique pour les étudiants.
Avec le développement des connexions en Afrique, Internet va se renforcer et s'enrichir de la contribution de populations toujours plus nombreuses. Project Link ne résume pas à brancher des câbles en fibre. Il s'agit de connecter les habitants de Kampala et de leur donner l'opportunité de contribuer à un Internet véritablement mondial.
Auteur : Kai Wulff, Access Field Director
Trial in Cape Town shows that TV White Spaces can deliver broadband access without interference
Friday, November 8, 2013
(Cross-posted on Google.org blog)
TV White Spaces—the unused spectrum between TV channels—have the potential to bring wireless broadband access to underserved and rural areas. These low frequency signals can travel long distances and fill a need in places where telecommunications infrastructure is lacking.
Google, joined by a group of partners (
CSIR Meraka Institute
,
TENET
,
e-Schools Network
,
WAPA
, and
Carlson Wireless
), wanted to help make this potential a reality. In March 2013, the group
launched
a six-month trial using TV White Spaces (TVWS) to bring broadband Internet access to 10 schools in Cape Town, South Africa. The goal of the trial was to show that TVWS could be used to deliver broadband Internet without interfering with TV broadcast.
After six months, the trial has been a success. The participating schools, which previously had slow or unreliable Internet connections, experienced high-speed broadband access for the first time. Teachers were able to use videos in their lesson plans, make Skype calls to other schools, update school websites, and send regular email updates to parents. Students could use educational videos for research. Because the service was better and faster, teachers and learners used the web to enrich the classroom experience.
At the same time, multiple sources confirmed that there was no interference with TV broadcast. Trial partner CSIR Meraka Institute performed frequent scientific studies to measure any potential interference over the six-month period. We also provided tools for people to report any interference experience while watching TV. Both the Meraka Institute’s findings, as well as crowdsourced reporting, show that the TVWS service did not interfere with local broadcast. We’ve published the
final results
for a deeper dive on the outcomes of the trial.
ICASA, South Africa’s communication regulator, plans to use the trial outcomes as inputs into the TVWS regulatory process. This is a big step to bringing this technology to more of South Africa. We also hope the results extend far beyond this trial and can be useful in encouraging others to consider TVWS to help bring the power of the Internet to more people in more parts of the world.
Posted by Fortune Sibanda, Policy Manager, Google South Africa
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L'essai effectué au Cap montre que les espaces blancs télévisuels peuvent fournir un accès haut débit sans interférence
Les espaces blancs télévisuels—le spectre inutilisé entre les canaux de télévision—sont à même de fournir un accès WiFi haut débit aux zones rurales ou mal desservies. Ces signaux basse fréquence peuvent transiter sur de longues distances et répondre à un besoin dans les lieux dépourvus d'infrastructures de télécommunications.
Google, rejoint par un groupe de partenaires (
CSIR Meraka Institute
,
TENET
,
e-Schools Network
,
WAPA
et
Carlson Wireless
), a souhaité aider à transformer ce potentiel en réalité. En mars 2013, le groupe
a fait
un essai sur six mois, pour exploiter les espaces blancs télévisuels (TVWS) et fournir un accès WiFi haut débit à dix écoles du Cap (Afrique du Sud). L'objet du test était de vérifier que les TVWS pouvaient fournir un accès haut débit à Internet sans interférer avec les émissions de TV.
Six mois plus tard, le test se révélait concluant. Les écoles participantes, qui ne disposaient jusque là que de connexions Internet lentes et peu fiables, ont expérimenté pour la première fois le confort d'un accès haut débit. Les professeurs ont pu se servir de vidéos pour leurs cours, communiquer avec d'autres écoles via Skype, mettre à jour les sites Internet des écoles et informer régulièrement les parents par courrier électronique. Les étudiants ont utilisé les vidéos pédagogiques pour leurs recherches. Avec un service amélioré et plus rapide, professeurs et élèves se sont davantage servi d'lnternet pour enrichir leur expérience en classe.
Simultanément, de nombreuses sources ont confirmé qu'aucune interférence ne perturbait les émissions de télévision. Un des partenaires de l'essai, CSIR Meraka Institute, a effectué de fréquentes études scientifiques pour mesurer les éventuelles interférences tout au long des six mois de test. Nous avons également fourni aux téléspectateurs des outils leur permettant de signaler toute interférence. Les résultats obtenus par le Meraka Institute, comme les rapports des téléspectateurs, ont montré que le service TVWS ne générait aucune interférence avec les émissions locales. Nous avons publié les
résultats finaux
pour une analyse plus approfondie.
L'ICASA, l'organisme sud-africain de réglementation des communications, prévoit d'exploiter les résultats du test comme données pour le processus de réglementation des TVWS. Il s'agit là d'un grand pas dans la mise à disposition de cette technologie pour davantage de régions sud-africaines. Nous espérons également que les résultats seront diffusés bien au-delà de cet essai et encourageront d'autres décideurs à considérer les TVWS comme un moyen d'offrir la puissance d'Internet à davantage de personnes dans davantage de régions du monde.
Poste par Fortune Sibanda, Policy Manager, Google South Africa
Books arrive on Google Play in South Africa
Thursday, November 7, 2013
Starting today, book-lovers in South Africa can now buy books on Google Play.
Apps are already available on Google Play, and today’s launch will give users access to hundreds of thousands of books, including bestsellers and classics from hundreds of publishers. With the launch of books, Google Play becomes a key destination for the very best digital content available on the web.
With your books in the cloud you can read on the web, a phone, or a tablet and pick up right where you left off. You can discover, purchase and read books on:
Android phones and tablets—you can buy books in the Google Play Store and begin reading them instantly in the Google Play Books app;
your computer—you can buy books on the Google Play store and read in your web browser; and
iPhones and iPads—you can read books that you’ve purchased on the web in the Google Play Books app
We’re happy to make it even easier for all book lovers to discover and buy whatever they want to read, whether that’s the next bestseller, a new release from their favourite author or a well-loved classic. Whether you’re a bookworm or casual reader, we hope you find something great to read on Google Play, and we’re looking forward to adding more titles and South African content from today onwards. We hope you enjoy reading your books whenever you want!
Posted by Santiago de la Mora, Director, Print Product Partnerships
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Les livres arrivent sur Google Play en Afrique du Sud
À partir d'aujourd'hui, les amateurs de livres en Afrique du Sud peuvent acheter des livres sur Google Play.
Les applis sont d'ores et déjà disponibles sur Google Play, et le lancement d'aujourd'hui va donner accès à des centaines de milliers d'ouvrages par Internet, dont des best-sellers et des classiques publiés par des centaines d'éditeurs. Google Play devient ainsi une référence pour les contenus numériques disponibles sur Internet.
Avec vos livres dans le cloud, vous pouvez lire sur Internet, sur votre téléphone ou votre tablette, et reprendre votre lecture là où vous l'aviez interrompue. Vous pouvez découvrir, acheter et lire des ouvrages sur:
Des téléphones et tablettes Android—vous pouvez acheter des livres sur la boutique Play Store et commencer immédiatement à les lire via l'appli Google Play Books ;
Votre ordinateur—vous pouvez acheter des livres sur la boutique Play Store et les lire via votre navigateur;
L’iPhone et l’iPad—vous pouvez lire les livres que vous avez achetés sur Internet via l'appli Google Play Books
Nous sommes heureux de rendre encore plus simples la découverte et l'achat de tout ce que peuvent souhaiter lire les passionnés de livres, qu'il s'agisse du prochain best-seller, d'une nouvelle parution de leur auteur favori ou d'un classique toujours apprécié. Que vous soyez un dévoreur de livres ou un lecteur occasionnel, nous espérons que vous trouverez votre bonheur sur Google Play, et nous allons bien entendu y ajouter de nouveaux titres et des contenus propres à l'Afrique de Sud dès aujourd'hui. Nous espérons que vous apprécierez de pouvoir lire des livres au moment où vous en avez envie!
Publié par Santiago de la Mora, Directeur, Partenariats Produits imprimés
Put your community on the map!
Monday, October 28, 2013
Noé Diakubama
, an emigrant from the Democratic Republic of Congo who now lives in Paris, is one of this century’s intrepid pioneers. Using online mapmaking tools, he created the first map of his village,
Mbandaka
, which he and his wife have modified more than 100,000 times since 2009. Noé literally put Mbandaka – and the people who live there – on the map.
Noé is not the only such pioneer. There is a vast and growing community of African online mapmakers creating useful, accessible maps of lesser-known areas in Africa– and transforming people’s lives in the process by making it easy for them to find social, health facilities,businesses and educational facilities.
From now till November 17, 2013 over 1,500 volunteers across Africa will team up with our community leaders comprising of
Google Student Ambassadors (GSA)
,
Google Business Groups (GBG)
and
Google Developer Groups (GDG)
to map out areas they love and grew up in.
Volunteers will walk around a predefined locality and collect information to add to Google maps using the
Google Map Maker tool
once they are back at a computer connected to the internet.
Google Map Maker allows you to add and update geographic information for millions of users to see in
Google Maps
and
Google Earth
. By sharing information about the places you know, like businesses in your town or places on your school campus, you can help Google Maps to accurately reflect the world around you.
If you’re excited about this, why not pick up your laptop bag, water bottle and power cable, and team up with your nearest community leader to start putting your community on the maps. If you want to know when it coming to your town,
check out this calendar
and get in touch with a Google community leader near you.
Posted by Chukwuemeka Afigbo, Outreach Program Manager, Sub-Saharan Africa
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Faites apparaître votre village sur la carte !
Noé Diakubama
, parisien émigré de la République Démocratique du Congo, fait partie des audacieux pionniers de ce siècle. À l'aide d'un outil de cartographie, il a créé la première carte de son village,
Mbandaka
, que sa femme et lui ont ensuite modifiée plus de 100 000 fois depuis 2009. Noé a littéralement inscrit Mbandaka, ainsi que les personnes qui y vivent, sur la carte.
Mais Noé n'est pas le seul pionnier dans ce cas. Aujourd'hui, les cartographes africains en ligne représentent une vaste communauté qui ne cesse de grandir. Leur contribution consiste à créer des cartes utiles et accessibles des régions les plus reculées d'Afrique et à changer ainsi la vie des populations qui s'y trouvent en leur permettant de trouver plus facilement les centres sanitaires et sociaux, les entreprises et les établissements scolaires.
À compter d'aujourd'hui et jusqu'au 17 novembre 2013, plus de 1500 bénévoles à travers l'Afrique vont faire équipe avec les "Community Leaders" dont
Google Student Ambassadors (GSA)
,
Google Business Groups (GBG)
et
Google Developer Groups (GDG)
pour cartographier les régions qu'ils aiment et dans lesquelles ils ont grandi.
Les bénévoles ont pour mission de se rendre dans un village donné et d'y recueillir des informations qu'ils ajouteront ensuite à Google Maps à l'aide de
l'outil Google Map Maker
dès qu'ils auront accès à un ordinateur connecté à internet.
Google Map Maker permet d'ajouter et de mettre à jour des informations géographiques, qui seront consultables par des millions d'internautes sur
Google Maps
et
Google Earth
. En partageant des informations sur les lieux que vous connaissez, comme votre campus ou les entreprises installées dans votre ville, vous pouvez contribuer à enrichir Google Maps et en faire le reflet le plus précis possible du monde qui vous entoure.
Si cela vous tente et que vous avez envie d'inscrire votre communauté sur la carte, il vous suffit de vous munir de votre ordinateur portable, d'un chargeur et d'une bouteille d'eau et de rejoindre votre "Community Leader". Pour savoir quand l'événement aura lieu dans votre ville, vous pouvez
consulter ce calendrier
et contacter le "Community Leader" de Google le plus proche de chez vous.
Publié par Chukwuemeka Afigbo, Outreach Program Manager, Afrique sub-saharienne
Swaziland next African country to come to Street View
Thursday, October 24, 2013
Ever wanted to visit the vast rolling green hills of Swaziland? Google’s Street View will now give you virtual access to this majestic Southern African kingdom. Swaziland joins South Africa, Botswana and Lesotho as the fourth African country to be featured on
Street View
.
Explore the terrains of the
Mlawula
,
Malolotja
and
Simunye Nature Reserves
or take a step on to the Low Level Bridge.
Malolotja Natural Reserve
View Larger Map
Visit one of Swaziland’s pioneer conservation locations, the Mlilwane Game Sanctuary, which can be found in the Ezulwini Valley - also known as the ‘Valley of Heavens’. Users can also embark on an exhilarating adventure amongst the deep crevices of one of the world’s oldest mines, the Ngwenya mine, situated near the north-western border of Swaziland.
Mlilwane Game Sanctuary
View Larger Map
Why not immerse yourself in 1850 Swaziland by discovering the hidden treasures that are held within the
Mantenga Cultural Village
? The village represents an authentic living museum of artefacts and tradition during this time period.
Google aims to make Street View more and more comprehensive and useful by adding new and unusual locations - with everything from the top of the
world’s tallest building
in Dubai down to the
Great Barrier Reef
in Australia, there is nothing that is out of reach.
Posted by Fortune Mgwili-Sibanda, Public Policy Manager, Google South Africa.
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Swaziland, prochain pays africain à entrer dans Street View
Avez-vous déjà eu envie de visiter les vastes collines verdoyantes du Swaziland ? Google Street View vous permet désormais d'accéder virtuellement à ce majestueux royaume d'Afrique australe. Le Swaziland rejoint l'Afrique du Sud, le Botswana et le Lesotho en quatrième place des pays d'Afrique représentés dans
Street View
.
Explorez les réserves naturelles de
Mlawula
,
Malolotja
et de
Simunye
ou allez voir le célèbre Low Level Bridge.
Vous pourrez aussi visiter l'un premiers sites de préservation du Swaziland, le sanctuaire animalier de Mlilwane, qui se trouve dans la vallée Ezulwini, aussi appelée la "Vallée du paradis". Et pourquoi pas, vivre l'aventure palpitante de survoler les profondes crevasses de l'une des plus anciennes mines du monde, la mine de Ngwenya, située à la frontière nord-ouest du pays.
Si cela vous tente, plongez dans le Swaziland des années 1850 en partant à la découverte des trésors cachés que recèle le
Mantenga Cultural Village
! Ce village est un authentique musée vivant des objets et traditions en usage à cette époque.
Google a pour ambition de rendre Street View de plus en plus complet et utile en l'enrichissant de lieux nouveaux ou insolites - depuis la vue au sommet
du plus haut bâtiment du monde
à Dubaï jusqu'à
la Grande barrière de corail
d'Australie, plus rien ne sera hors de portée.
Publié par Fortune Mgwili-Sibanda, Public Policy Manager, Google Afrique du Sud
Announcing the winners of Kenya’s Doodle 4 Google competition
Wednesday, October 23, 2013
After thousands of submissions and online votes cast, Esther Wamai Githinji, a 17 year old Grade 13 student of Shree Cutchi Leva Patel Samaj School, emerged as the winner of the
2013 Kenya Doodle 4 Google
competition. Her doodle, “Feet of Gold,” was featured on the Google Kenya
homepage
on Mashujaa Day - 20 October 2013.
From marathon runners to wildlife to cultural melting pots, we were wowed by these young artists’ creative interpretations of this year’s theme, “My Kenya”.
Esther, who says her inspiration came from her art teacher and parents, will now receive a KES 800,000 tuition scholarship, an Android Tablet and a KES 800,000 technology grant for her school.
In addition to the National Winner, Google fans across the country helped to choose the 3 National Age Category Winners, who will each receive an Android tablet and assorted prizes:
Age Category 6 - 8: Neer Jaynish Shah (Oshwal Academy, Nairobi) for his doodle “
Proud to celebrate Fifty Years of Kenya with Honor
.”
Age Category 10 - 14: Joash Kikoso Nathan (Rusinga School, Nairobi) for his doodle “
My Home Kenya.
”
Age Category 15 - 18: Drupad Dinesh Revankar (Arya Vedic Secondary, Nairobi) for his doodle “
Colours of Kenya.
”
Following the awards ceremony, all 30 finalists will continue to display their artwork on the
Doodle for Google website
for the public to view until the end of the year.
Thanks to all who voted and helped us select the 2013 Doodle 4 Google winners! Even more importantly, thank you to all of the students who submitted their artwork and the parents and teachers who continue to inspire and support these young artists.
Posted by Amanda Gicharu-Kemoli, Marketing Manager, Kenya
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Résultats du concours Doodle 4 Google Kenya
Parmi des milliers de propositions et de votes en ligne, Esther Wamai Githinji, étudiante de 17 ans en première année à la Shree Cutchi Leva Patel Samaj School, est sortie vainqueur du concours
Doodle 4 Google Kenya 2013.
Son doodle, « Feet of Gold » a été publié sur la
page d'accueil
Google Kenya, durant le Mashujaa Day, le 20 octobre 2013.
Des marathoniens aux animaux sauvages en passant par le melting-pot des cultures, nous avons été impressionnés par les œuvres innovantes de ces jeunes artistes qui portaient cette année sur le thème « Mon Kenya ».
Esther, qui confie que son inspiration lui vient à la fois de son professeur d’art et de ses parents, va recevoir une bourse d’études de 800 000 KES, une tablette Android ainsi qu’une bourse technologique de 800 000 KES pour son école.
En plus du Gagnant National, les fans de Google à travers tout le pays ont aidé à choisir les 3 gagnants nationaux pour chaque catégorie d’âge, qui recevront chacun une tablette Android et des prix divers :
Catégorie des 6 à 8 ans : Neer Jaynish Shah (Oshwal Academy, Nairobi) pour son doodle "
Proud to celebrate Fifty Years of Kenya with Honor
".
Catégorie des 10 à 14 ans : Joash Kikoso Nathan (Rusinga School, Nairobi) pour son doodle "
My Home Kenya.
"
Catégorie des 15 à 18 ans : Drupad Dinesh Revankar (Arya Vedic Secondary, Nairobi) pour son doodle “
Colours of Kenya.
"
Après la cérémonie de remise de prix, les 30 finalistes continueront d’exposer au public leurs œuvres sur le site internet
Doodle for Google
jusqu’à la fin de l’année.
Merci à tous ceux qui ont voté et qui nous ont aidés à choisir les vainqueurs du Doodle 4 Google ! Et surtout un grand merci à tous les étudiants qui ont envoyé leurs œuvres ainsi qu’aux parents et enseignants qui continuent d’inspirer et d'accompagner ces jeunes artistes.
Publié par Amanda Gicharu-Kemoli, Directrice Marketing, Kenya
Google Ad Grants Live In South Africa!
Tuesday, October 22, 2013
Today’s good news is that the Google Ad Grants programme is now live in South Africa! Google Ad Grants empower nonprofit organizations through $10,000 per month in in-kind AdWords advertising, to promote their missions and initiatives on Google.co.za
Ad Grantees build and manage their own AdWords accounts just like paying advertisers, but participate with the following conditions:
A daily budget set to $330 USD
A maximum cost-per-click (CPC) limit of $2 USD
Only run keyword targeted campaigns with text ads that appear on Google.com
To be eligible for the programme, organizations must:
Hold current and valid charity status, as determined by their country.
Acknowledge and agree to the application’s required certifications regarding non-discrimination and donation receipt and use.
Have a functioning website with substantial content.
For more details on eligibility please visit http://www.google.co.za/intl/en/grants/. If your organization meets our eligibility guidelines we encourage you to apply to join the programme today!
Posted by Elizma Nolte, Marketing Manager, Google South Africa
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Google Ad Grants arrive en Afrique du Sud
La bonne nouvelle du jour est que le programme Google Ad Grants est désormais disponible en Afrique du Sud ! Google Ad Grants donne aux organisations à but non lucratif le moyen de bénéficier de l'équivalent de 10 000 $ par mois (au maximum) en annonces AdWords, pour promouvoir leurs missions et leurs initiatives sur Google.co.za
Les bénéficiaires (les "Ad Grantees") élaborent et gèrent leurs comptes AdWords exactement comme les annonceurs payants, mais avec les conditions suivantes :
Un budget quotidien de 330 $ US
Un coût par-clic (CPC) limité à 2 $ US
Campagnes ciblées par mots clés uniquement, avec le texte des annonces apparaissant sur Google.com
Pour être éligible à ce programme, les organisations doivent :
Avoir un statut valide d'organisme caritatif, tel que défini dans leur pays.
Prendre connaissance et accepter les certifications requises par l'application concernant la non-discrimination, et la collecte et l'utilisation des dons.
Disposer d'un site web actif avec un contenu substantiel.
Pour plus de détails sur l'éligibilité, consultez le site http://www.google.co.za/intl/en/grants/. Si votre organisation répond aux critères d'éligibilité, nous vous invitons à postuler pour adhérer au programme dès aujourd'hui !
Publié par Elizma Nolte, Responsable Marketing, Google Afrique du Sud
Joining forces to advocate for a more affordable Internet
Friday, October 18, 2013
Imagine a world where you spent 30% of your monthly income on basic Internet service. Could you pay? What might you have to give up? For billions of people, these costs--and questions--are an unaffordable reality that stop them from accessing the Web.
This week, Google joined more than 30 members to launch the
Alliance for Affordable Internet
(A4AI), a new coalition that cuts across boundaries of geography, sector, or size. Our goal? To help bring down Internet costs through policy change.
New technologies play a crucial role in bringing the Internet to more people worldwide--we’ve developed and invested in many of these big ideas over the years. We broke new ground with
balloon-powered Internet access
, are bringing broadband to Africa with
TV White Spaces
, and are
funding organizations
like the Internet Society to develop Internet Exchange Points in emerging markets.
These technologies can have major impact, but no single solution can connect the 5 billion people living without Internet access today. Policy change can help new innovation take hold and flourish; outdated policies can stifle progress. In Kenya and other markets that have adopted national broadband plans, policy change has
delivered results
, fast. A4AI will focus on those policy changes that can bolster new access technologies and initiatives and make the Internet more affordable to people worldwide.
Initiated by the
World Wide Web Foundation
, A4AI includes
members
from the technology, government, and nonprofit worlds, from developed and developing countries. Google--along with other Global Sponsors--joined the alliance in its early days to help establish the vision that exists today, as well as rally more members that share our mission for affordable Internet access.
A4AI has a specific goal in mind: to reach the UN Broadband Commission target of entry-level broadband access priced at less than 5% of monthly income worldwide. (According to the ITU, households in the developing world pay roughly 30% of monthly income for a fixed connection, so there’s a lot of work to do.) We’re working with A4AI on several initial projects, including:
Publishing a set of policy and regulatory
best practices
Working directly with governments, with plans to engage with 10+ countries by the end of 2015
Releasing the first edition of an annual affordability report
Ultimately, A4AI is about making the world a more connected place. Over 90% of people in the 49 least developed countries are still not online. A4AI wants to help people in these countries to get access, to find a door to new information, opportunities, and ideas.
Dr. Bitange Ndemo
, the honorary chairperson of A4AI, has called for the need to remove “analog policies that are holding back the digital revolution” in emerging markets.
We couldn’t agree more.
Posted by Jennifer Haroon, Access Principal
====
Unir nos forces pour un Internet plus abordable
Imaginez un monde où vous dépenseriez 30 % de vos revenus mensuels pour un service Internet de base. Pourriez-vous vous l'offrir ? A quoi devriez-vous renoncer en échange ? Pour des milliards de gens, ces coûts -- et ces questions --sont une réalité inaccessible, qui les prive d'accès à Internet.
Aujourd'hui, Google rejoint plus de 30 membres pour lancer
l'Alliance pour un Internet abordable
(A4AI), un nouveau collectif qui ignore les frontières géographiques, sectorielles ou de taille. Notre objectif ? Contribuer à diminuer les coûts d'Internet par un changement de politique.
Les nouvelles technologies jouent un rôle essentiel pour donner accès à Internet à de plus en plus de personnes dans le monde - nous avons développé et investi dans plusieurs de ces grandes idées au fil des années. Nous avons franchi un nouveau pas avec
l aconnexion Internet via de gros ballons gonflables
, nous fournissons le haut débit en Afrique avec les
espaces blancs télévisuels
et
finançons des organismes
tels que l'Internet Society pour développer des points d'échange Internet sur les marchés émergents.
Ces technologies peuvent avoir un effet considérable, mais aucune solution isolée ne peut connecter les 5 milliards d'individus vivant aujourd'hui sans accès à Internet. Un changement de politique est seul à même d'aider les innovations à s'ancrer et s'épanouir ; des politiques dépassées ne peuvent qu'étouffer le progrès. Au Kenya et sur d'autres marchés qui ont adopté des plans nationaux pour le haut débit, le changement de politique a
produit des résultats
rapides. L'A4AI d'intéressera aux changements de politique qui peuvent accélérer les technologies d'accès et les initiatives, et rendre Internet plus abordable aux populations du monde entier.
Lancé par la
World Wide Web Foundation
, l'A4AI est constituée de
membres
issus du monde technologique, des gouvernements et des ONG, aussi bien de pays développés que de pays en développement. Google, aux côtés d'autres sponsors mondiaux, a rejoint l'alliance dès les premiers jours pour contribuer à établir la vision qui prévaut aujourd'hui, et pour rallier de nouveaux membres à notre mission de rendre l'accès Internet abordable.
L'A4AI a un objectif précis : atteindre l'objectif fixé par la commission des Nations Unies sur le haut débit, à savoir un accès au haut débit de base à un coût ne dépassant pas 5 % du revenu mensuel dans le monde. (Selon l'ITU, les foyers dans le monde en développement dépensent environ 30 % de leur revenu mensuel pour une connexion fixe ; il y a donc beaucoup de chemin à faire.) Nous travaillons avec l'A4AI sur plusieurs projets, dont :
Publication d'un ensemble de
bonnes pratiques
au niveau politique et réglementaire.
Travail en direct avec les gouvernements, avec des plans à engager avec plus de 10 pays d'ici à la fin 2015
Publication de la première édition d'un rapport annuel sur les coûts abordables
Enfin, l'A4AI travaille à rendre le monde plus connecté. Plus de 90 % des personnes dans les 49 pays les moins développés ne sont toujours pas connectées. L'A4AI veut aider les habitants de ces pays à se connecter, à s'ouvrir sur le monde en accédant aux dernières informations, aux opportunités et aux idées.
Le
Dr. Bitange Ndemo
, président d'honneur de l'A4AI, a appelé à se débarrasser des « politiques analogiques qui freinent la révolution numérique » dans les marchés émergents.
Nous ne saurions mieux dire.
Publié par
Jennifer Haroon, Access Principal
Explore the world’s constitutions with a new online tool
Thursday, September 26, 2013
Constitutions are as unique as the people they govern, and have been around in one form or another for millennia. But did you know that every year approximately five new constitutions are written, and 20-30 are amended or revised? Or that Africa has the youngest set of constitutions, with 19 out of the 39 constitutions written globally since 2000 from the region - and the most recent is from Zimbabwe? Africa has also produced a number of recent constitutional innovations. In Kenya, a judicial vetting board recently screened the entire senior judiciary in accordance with the values of its new constitution. Additionally, Kenya's Constitutional Implementation Committee is the first institution of it's kind and now being copied elsewhere.
The process of redesigning and drafting a new constitution can play a critical role in uniting a country, especially following periods of conflict and instability. In the past, it’s been difficult to access and compare existing constitutional documents and language—which is critical to drafters—because the texts are locked up in libraries or on the hard drives of constitutional experts. Although the process of drafting constitutions has evolved from chisels and stone tablets to pens and modern computers, there has been little innovation in how their content is sourced and referenced.
With this in mind,
Google Ideas
supported the
Comparative Constitutions Project
to build
Constitute
, a new site that digitizes and makes searchable the world’s constitutions. Constitute enables people to browse and search constitutions via curated and tagged topics, as well as by country and year. The Comparative Constitutions Project cataloged and tagged nearly 350 themes, so people can easily find and compare specific constitutional material. This ranges from the fairly general, such as “Citizenship” and “Foreign Policy,” to the very specific, such as “Suffrage and turnouts” and “Judicial Autonomy and Power.”
Our aim is to arm drafters with a better tool for constitution design and writing. We also hope citizens will use Constitute to learn more about their own constitutions, and those of countries around the world.
Posted by Sara “Scout” Sinclair Brody, Google Ideas Product Manager
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Découvrez les constitutions du monde entier grâce à un nouvel outil en ligne
Les constitutions sont aussi uniques que les peuples qu’elles régissent et existent sous des formes diverses depuis des millénaires. Mais saviez-vous que chaque année, environ cinq nouvelles constitutions sont rédigées et qu’entre 20 et 30 sont modifiées ou révisées ? Savez-vous également que l’Afrique concentre le nombre de constitutions les plus récentes, 19 sur les 39 que totalise ce continent ayant été rédigées depuis 2000 et que la plus récente est celle du Zimbabwe ? C’est également à l’Afrique que l’on doit plusieurs innovations constitutionnelles récentes. Au Kenya, une commission de contrôle judiciaire a récemment passé en revue l’ensemble du système judiciaire conformément aux valeurs de sa nouvelle constitution. De plus, le Comité d’application constitutionnelle kenyan est la première institution de ce type, aujourd’hui reprise par d’autres pays.
Le processus de remaniement et de rédaction d’une nouvelle constitution peut jouer un rôle déterminant dans l’unification d’un pays, en particulier lorsque ce travail fait suite à des périodes de conflit et d’instabilité. Par le passé, il était difficile d’accéder aux documents et aux textes constitutionnels existants – un élément essentiel pour les rédacteurs – parce que les textes sont enfermés dans des bibliothèques ou conservés sur les disques durs des constitutionnalistes. Bien que le processus de rédaction des constitutions ait évolué depuis l’âge du burin et des tablettes de pierre et passe aujourd’hui par le stylo et l’ordinateur, on n’a peu innové dans la manière de rechercher et de référencer les contenus.
C’est fort de ce constat que,
Google Ideas
a soutenu le
Projet comparatif des constitutions
en vue de développer
Constitute
, un nouveau site qui numérise les constitutions du monde entier et permet ainsi d’effectuer des recherches. Constitute permet aux internautes de parcourir les constitutions et d’effectuer des recherches via des entrées thématiques, ainsi que par pays et par année. Le Projet comparatif des constitutions a recensé et répertorié près de 350 thèmes permettant d’accéder facilement à des documents constitutionnels précis et de les comparer. Cela va de thèmes généraux tels que « la citoyenneté » ou la « politique étrangère », à des thèmes plus ciblés comme « le droit de vote et les taux de participation » ou encore « l’autonomie judiciaire et le pouvoir ».
Notre objectif est d’offrir aux rédacteurs un outil plus performant pour l’élaboration et la rédaction de constitutions. Nous espérons également que les citoyens consulteront le portail Constitute afin d’en savoir plus sur leur propre constitution et celles des autres pays.
Publié par by Sara “Scout” Sinclair Brody, Google Ideas Product Manager
Talking Innovation, Entrepreneurship and Government Policy at South Africa’s Big Tent
Friday, September 13, 2013
Sub-Saharan Africa’s first
Google Big Tent
took place last week, and if the 150 attendees left it with one key clear message, it would be a comment made by Kenya’s former ICT Ministry Permanent Secretary, Dr Bitange Ndemo: “God gave Africa a lot of problems, and now we can use technology to innovate and solve them.”
That optimistic outlook was shared by speakers from across the spectrum of African policymakers, entrepreneurs and researchers. South Africa’s newly appointed Communications Minister, Yunus Carrim, gave a frank assessment of how important the Internet can be for the country’s economic development, telling attendees that “the more people are online, the more successful our e-commerce sector will be.” How South Africa can best maximise this opportunity framed the rest of the conversation.
We saw a number of great examples of African entrepreneurs making the most of the
opportunities provided by the Internet. Chike Maduegbuna from
Afrinolly
showed off his platform for delivering African creative content and Evan Robinson from
TaxTim
described the typical entrepreneurs story: he couldn’t find a programme to help him with filing his taxes, so he built one himself. These inspiring stories show what can be achieved through hard work and a clever offering.
Meanwhile two South African entrepreneurs warned that exchange controls make South Africa an unattractive investment climate for venture capitalists, dampening the technology sector and driving some of Africa’s greatest innovators out of the country. Justin Stanford of Silicon Cape urged Government to remove these bottlenecks to let technology startups to thrive. Dr Ndemo went as far as to thank South Africa for its regulatory framework because it benefits entrepreneurs in Kenya.
Participants were left with a positive impact government can have on the Internet. Vint Cerf, Google’s Chief Internet Evangelist, reminded the audience that the early development of the Internet relied upon close collaboration and support by government. Governments can help researchers and innovators take big risks by providing essential funding.
Posted by Fortune Mgwili-Sibanda, Public Policy and Government Relations Manager, Google South Africa.
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Innovation, esprit d'entreprise et politique gouvernementale au programme du Big Tent d'Afrique du Sud
Le premier
Google Big Tent
d'Afrique sub-saharienne a eu lieu la semaine dernière, et si les 150 participants en ont retenu un message clé, c'est sans doute le commentaire du Dr Bitange Ndemo, ex-secrétaire permanent du ministre ICT du Kenya : « Dieu a chargé l'Afrique d'une multitude de problèmes, mais nous avons maintenant la technologie pour innover et les résoudre ».
Cette perspective optimiste a été partagée par les intervenants - décideurs, entrepreneurs et chercheurs africains. Le nouveau ministre des communications d'Afrique du Sud, Yunus Carrim, a donné une évaluation honnête de l'importance d'Internet pour le développement économique du pays : « Plus les gens seront connectés, plus le e-commerce sera florissant », a-t-il déclaré. La trame des débats a consisté à chercher comment l'Afrique du Sud pouvait optimiser au mieux cette opportunité.
Nous avons découvert plusieurs exemples d'entrepreneurs africains tirant profit des opportunités offertes par Internet. Chike Maduegbuna d'
Afrinolly
a présenté sa plate-forme pour la création de contenu créatif africain et Evan Robinson de
TaxTim
a raconté son histoire, grand classique pour les entrepreneurs : ne trouvant pas de programme susceptible de l'aider à remplir sa déclaration d'impôts, il en a élaboré un lui-même. Ces histoires montrent qu'avec du travail et une offre intelligente, la réussite n'est pas loin.
Dans le même temps, deux entrepreneurs sud-africains se sont rendu compte que le contrôle des changes détournait de l'Afrique du Sud les investisseurs en capital risque, fragilisant le secteur de la technologie et conduisant certains des grands innovateurs d'Afrique à s'expatrier. Justin Stanford de Silicon Cape a exhorté le gouvernement à supprimer ces goulets d'étranglement, qui empêchent les start-up technologiques de prospérer. Le Dr Ndemo a été jusqu'à remercier l'Afrique du Sud de son cadre réglementaire qui bénéficie aux entrepreneurs kenyans.
Les participants sont repartis avec la conviction que la gouvernement pouvait avoir un effet positif sur Internet. Vint Cerf, chef évangéliste d'internet chez Google, a rappelé que les premiers développements d'Internet étaient basés sur l'étroite collaboration et le soutien du gouvernement. Les gouvernements peuvent aider les chercheurs et les innovateurs à prendre des risques importants en assurant le financement de base.
Publié par Fortune Mgwili-Sibanda, responsable Stratégie et Relations gouvernementales, Google Afrique du Sud
Time to show what you can do with Google Cloud Platform!
Monday, September 9, 2013
(Cross-posted from the
Google Cloud Platform Blog
)
Google Cloud Platform
is used around the world to create and deploy solutions that are affordable, scalable and easy to maintain. These qualities empower developers worldwide to solve local and global challenges with cloud technology.
This sets the stage for the very first
Google Cloud Platform Developer Challenge
. We’re inviting you to build locally relevant web applications that solve real world problems. You will have the opportunity to “WOW” the world with your awesome web application built on
Google App Engine
using Google APIs like the
Google+
,
Youtube
and
Maps
APIs.
The competition starts September 4th, 2013 with the first round of submissions starting on October 22, 2013. The categories for this challenge are
Enterprise/Small Business Solutions , Education, Not for Profit
Social / Personal Productivity/Games / Fun
Submissions will be accepted from any one of six regions across the world:
Latin America
Sub Saharan Africa
South East Asia
Middle East & North Africa
India
Rest of the World
We will be working in tandem with
Google Developer Groups (GDGs)
,
Google Business Groups
and
Google Student Ambassadors
to put up and organize events around the challenge. Ensure you connect with your local communities for more information about these meetups.
Do you want to start hacking out a cloud based web app now and you need pointers and hints? If yes , then the
Google App Engine tutorial
is a good place to start.
The Form+ team , one of the winners of last year’s Google Apps Developer Challenge
If your application is judged the best in your region, within one of the two categories mentioned above, you could win a prize of $20,000! We are devoted to raising the next generation of information technology experts as well as encouraging diversity among software developers. In line with this, we have special prizes for all-female teams -- $2,000 and $1,000 dollars for ‘all-student teams’ that make the second round. Any ‘all female student team’ that makes the second round will receive a prize of $3,000. There are also prizes available for those who are interested in mentoring contestants.
Please read through the terms and conditions on the
Google Cloud Platform Developer Challenge page
and follow the hashtag
#gcdc
on Google+ for any additional updates.
What are you waiting for? Register your gcdc2013-<your app name>.appspot.com - apply for $2,000 worth of Google Cloud Platform credit at
cloud.google.com/starterpack
using the promo code: gcpdc-in, and start hacking with Google Cloud Platform!
Posted by Chukwuemeka Afigbo, Program Manager
====
Il est temps de découvrir ce que propose la Google Cloud Platform !
La plate-forme
Google Cloud Platform
sert à créer et déployer à travers le monde des solutions à la fois abordables, évolutives et faciles à maintenir. Ces qualités donnent aux développeurs du monde entier les outils pour relever les défis locaux et mondiaux grâce à la technologie du Cloud computing.
Le terrain est ainsi prêt pour le tout premier
Google Cloud Platform Developer Challenge
. Nous vous invitons à créer des applications web localement pertinentes, qui apportent des solutions à des problèmes réels. Vous pourrez ainsi épater le monde avec une application web construite avec
Google App Engine
, en utilisant des API Google telles que
Google+
,
Youtube
et
Maps
.
Le concours débute le 4 septembre 2013, le 1er tour de soumissions démarrant le 22 octobre 2013. Les catégories de ce challenge sont les suivantes :
Solutions Professionnels/Petites entreprises, Éducation, Organismes à but non lucratif
Social / Productivité personnelle / Jeux / Divertissement
Les six régions de la planète sont toutes admises à concourir :
Amérique Latine
Afrique sub-saharienne
Asie du Sud-est
Moyen-Orient et Afrique du Nord
Inde
Reste du monde
Nous travaillerons en collaboration avec les
Groupes de développeurs Google (GDG)
, les
Groupes entreprises de Google
et les
Étudiants ambassadeurs de Google (GSA)
pour élaborer et organiser des événements autour du concours. Prenez contact avec vos communautés locales pour en savoir plus sur ces réunions.
Vous voulez commencer à travailler tout de suite sur une application web cloud et vous avez besoin de pointeurs et de conseils ? Alors, le didacticiel
Google App Engine
est le site idéal pour démarrer.
Si votre application est jugée la meilleure de votre région dans l'une des catégories précitées, vous remporterez un prix de 20 000 $ ! Nous nous sommes donné pour mission de promouvoir la nouvelle génération d'experts informatiques et d'encourager la diversité des développeurs de logiciel. Dans cette optique, nous dédions des prix spéciaux aux équipes entièrement féminines (2000 $), et aux équipes d'étudiants (1000 $) qui participent au second tour. De plus, toute équipe entièrement féminine qui participe au second tour recevra un prix de 3000 $. Des prix sont également prévus pour ceux qui assureront le tutorat d'un candidat.
Veuillez lire attentivement les conditions générales du concours sur la
page du Google Cloud Platform Developer Challenge
et suivez le hashtag
#gcdc
sur Google+ pour les mises à jour éventuelles.
N'attendez plus ! Inscrivez votre gcdc2013-<nom de votre appli>.
appspot.com
- postulez pour le crédit de 2000 $ de la Google Cloud Platform sur
cloud.google.com/starterpack
, en utilisant le code promotionnel gcpdc-in, et commencez à travailler avec la plate-forme Google Cloud Platform !
Publié par Chukwuemeka Afigbo, Responsable Programme
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