Imagine a world where you spent 30% of your monthly income on basic Internet service. Could you pay? What might you have to give up? For billions of people, these costs--and questions--are an unaffordable reality that stop them from accessing the Web.
This week, Google joined more than 30 members to launch the Alliance for Affordable Internet (A4AI), a new coalition that cuts across boundaries of geography, sector, or size. Our goal? To help bring down Internet costs through policy change.
New technologies play a crucial role in bringing the Internet to more people worldwide--we’ve developed and invested in many of these big ideas over the years. We broke new ground with balloon-powered Internet access, are bringing broadband to Africa with TV White Spaces, and are funding organizations like the Internet Society to develop Internet Exchange Points in emerging markets.
These technologies can have major impact, but no single solution can connect the 5 billion people living without Internet access today. Policy change can help new innovation take hold and flourish; outdated policies can stifle progress. In Kenya and other markets that have adopted national broadband plans, policy change has delivered results, fast. A4AI will focus on those policy changes that can bolster new access technologies and initiatives and make the Internet more affordable to people worldwide.
Initiated by the World Wide Web Foundation, A4AI includes members from the technology, government, and nonprofit worlds, from developed and developing countries. Google--along with other Global Sponsors--joined the alliance in its early days to help establish the vision that exists today, as well as rally more members that share our mission for affordable Internet access.
A4AI has a specific goal in mind: to reach the UN Broadband Commission target of entry-level broadband access priced at less than 5% of monthly income worldwide. (According to the ITU, households in the developing world pay roughly 30% of monthly income for a fixed connection, so there’s a lot of work to do.) We’re working with A4AI on several initial projects, including:
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Working directly with governments, with plans to engage with 10+ countries by the end of 2015
Releasing the first edition of an annual affordability report
Ultimately, A4AI is about making the world a more connected place. Over 90% of people in the 49 least developed countries are still not online. A4AI wants to help people in these countries to get access, to find a door to new information, opportunities, and ideas. Dr. Bitange Ndemo, the honorary chairperson of A4AI, has called for the need to remove “analog policies that are holding back the digital revolution” in emerging markets.
We couldn’t agree more.
Posted by Jennifer Haroon, Access Principal
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Unir nos forces pour un Internet plus abordable
Imaginez un monde où vous dépenseriez 30 % de vos revenus mensuels pour un service Internet de base. Pourriez-vous vous l'offrir ? A quoi devriez-vous renoncer en échange ? Pour des milliards de gens, ces coûts -- et ces questions --sont une réalité inaccessible, qui les prive d'accès à Internet.
Aujourd'hui, Google rejoint plus de 30 membres pour lancer l'Alliance pour un Internet abordable (A4AI), un nouveau collectif qui ignore les frontières géographiques, sectorielles ou de taille. Notre objectif ? Contribuer à diminuer les coûts d'Internet par un changement de politique.
Les nouvelles technologies jouent un rôle essentiel pour donner accès à Internet à de plus en plus de personnes dans le monde - nous avons développé et investi dans plusieurs de ces grandes idées au fil des années. Nous avons franchi un nouveau pas avec l aconnexion Internet via de gros ballons gonflables, nous fournissons le haut débit en Afrique avec les espaces blancs télévisuels et finançons des organismes tels que l'Internet Society pour développer des points d'échange Internet sur les marchés émergents.
Ces technologies peuvent avoir un effet considérable, mais aucune solution isolée ne peut connecter les 5 milliards d'individus vivant aujourd'hui sans accès à Internet. Un changement de politique est seul à même d'aider les innovations à s'ancrer et s'épanouir ; des politiques dépassées ne peuvent qu'étouffer le progrès. Au Kenya et sur d'autres marchés qui ont adopté des plans nationaux pour le haut débit, le changement de politique a produit des résultatsrapides. L'A4AI d'intéressera aux changements de politique qui peuvent accélérer les technologies d'accès et les initiatives, et rendre Internet plus abordable aux populations du monde entier.
Lancé par la World Wide Web Foundation, l'A4AI est constituée de membres issus du monde technologique, des gouvernements et des ONG, aussi bien de pays développés que de pays en développement. Google, aux côtés d'autres sponsors mondiaux, a rejoint l'alliance dès les premiers jours pour contribuer à établir la vision qui prévaut aujourd'hui, et pour rallier de nouveaux membres à notre mission de rendre l'accès Internet abordable.
L'A4AI a un objectif précis : atteindre l'objectif fixé par la commission des Nations Unies sur le haut débit, à savoir un accès au haut débit de base à un coût ne dépassant pas 5 % du revenu mensuel dans le monde. (Selon l'ITU, les foyers dans le monde en développement dépensent environ 30 % de leur revenu mensuel pour une connexion fixe ; il y a donc beaucoup de chemin à faire.) Nous travaillons avec l'A4AI sur plusieurs projets, dont :
Publication d'un ensemble de bonnes pratiques au niveau politique et réglementaire.
Travail en direct avec les gouvernements, avec des plans à engager avec plus de 10 pays d'ici à la fin 2015
Publication de la première édition d'un rapport annuel sur les coûts abordables
Enfin, l'A4AI travaille à rendre le monde plus connecté. Plus de 90 % des personnes dans les 49 pays les moins développés ne sont toujours pas connectées. L'A4AI veut aider les habitants de ces pays à se connecter, à s'ouvrir sur le monde en accédant aux dernières informations, aux opportunités et aux idées. Le Dr. Bitange Ndemo, président d'honneur de l'A4AI, a appelé à se débarrasser des « politiques analogiques qui freinent la révolution numérique » dans les marchés émergents.
Nous ne saurions mieux dire.
Publié par Jennifer Haroon, Access Principal