Africa Blog
Google in Sub-Saharan Africa: news, stories and thoughts
Google Science Fair: Looking for the next generation of scientists and engineers to change the world
Thursday, January 31, 2013
En Français
At age 16,
Louis Braille
invented an alphabet for the blind. When she was 13,
Ada Lovelace
became fascinated with math and went on to write the first computer program. And at 19,
Alexander Graham Bell
started experimenting with sound and went on to invent the telephone. Throughout history many great scientists developed their curiosity for science at an early age and went on to make groundbreaking discoveries that changed the way we live.
Today, we’re launching the third annual Google Science Fair in partnership with CERN, the LEGO Group, National Geographic and Scientific American to find the next generation of scientists and engineers. We’re inviting students ages 13-18 to participate in the largest online science competition and submit their ideas to change the world.
For the past two years thousands of students from more than 90 countries, including some from Africa, have submitted research projects that address some of the most challenging problems we face today. Previous winners tackled issues such as
the early diagnosis of breast cancer
and
improving the experience of listening to music for people with hearing loss
. Last year, 14 year old high school students Sakhiwe Shongwe and Bonkhe Mahlalela from Swaziland made it to the finals and were the inaugural winners of the Science in Action prize with their
Unique Simplified Hydroponic
project aimed at reducing food shortage in Swaziland.
This year we hope to once again inspire scientific exploration among young people and receive even more African entries for our third competition.
Here’s some key information for this year’s Science Fair:
Students can enter the Science Fair in
13 languages
.
The deadline for submissions is April 30, 2013 at 11:59 pm PDT.
In June, we’ll recognize 90 regional finalists (30 from the Americas, 30 from Asia Pacific and 30 from Europe/Middle East/Africa).
Judges will then select the top 15 finalists, who will be flown to Google headquarters in Mountain View, Calif. for our live, final event on September 23, 2013.
At the finals,
a panel of distinguished international judges
consisting of renowned scientists and tech innovators will select top winners in each age category (13-14, 15-16, 17-18). One will be selected as the Grand Prize winner.
Prizes
for the 2013 Science Fair include a $50,000 scholarship from Google, a trip to the Galapagos with National Geographic Expeditions, experiences at CERN, Google or the LEGO Group and digital access to the Scientific American archives for the winner’s school for a year. Scientific American will also award a
$50,000 Science in Action prize
to one project that makes a practical difference by addressing a social, environmental or health issue. We’re also introducing two new prizes for 2013:
In August, the public will have the opportunity to get to know our 15 finalists through a series of Google+ Hangouts on Air and will then vote for the Inspired Idea Award
—
an award selected by the public for the project with the greatest potential to change the world.
We also recognize that behind every great student there’s often a great teacher and a supportive school, so this year we’ll award a $10,000 cash grant from Google and an exclusive Google+ Hangout with CERN to the Grand Prize winner’s school.
Lastly, we’ll also be hosting a series of
Google+ Hangouts on Air.
Taking place on Mondays, Wednesdays and Fridays, these Hangouts will feature renowned scientists including inventor Dean Kamen and oceanographic explorer Fabien Cousteau, showcase exclusive behind-the-scenes tours of cutting-edge labs and science facilities, and provide access to judges and the Google Science Fair team. We hope these Google+ Hangouts will help inspire, mentor and support students throughout the competition and beyond.
Visit
www.googlesciencefair.com
to get started now—your idea might not only change Africa, it might just change the world.
Posted by Sam Peter, Google Science Fair Team
====
La fête de la science Google : à la recherche de la prochaine génération de scientifiques et ingénieurs pour changer le mondes
À 16 ans,
Louis Braille
inventa un alphabet pour les non-voyants. À 13 ans,
Ada Lovelace
s'est passionnée pour les mathématiques et écrivit le premier programme informatique. À 19 ans,
Alexander Graham Bell
commença à faire des expériences sur le son et finit par inventer le téléphone. À travers l'histoire, parmi les grands scientifiques qui ont par leur découverte révolutionné notre façon de vivre, nombreux sont ceux qui ont commencé très jeunes à s'intéresser aux sciences.
Aujourd'hui s'ouvre la troisième édition annuelle de Google Science Fair en partenariat avec le CERN, le Groupe LEGO et les magazines National Geographic et Scientific American, dont la vocation est de découvrir la prochaine génération de scientifiques et d'ingénieurs. À cette occasion, nous invitons les élèves de 13 à 18 ans à participer au plus grand concours scientifique en ligne et à nous soumettre leurs idées pour changer le monde.
Au cours des deux dernières années, des milliers d'élèves issus de plus de 90 pays à travers le monde, dont des pays africains, ont soumis des projets de recherche visant à résoudre certains des problèmes les plus difficiles qui se posent au monde d'aujourd'hui. Les lauréats des concours précédents s'étaient attelés à des questions aussi ardues que
le diagnostic précoce du cancer du sein
et
l'amélioration de l'écoute musicale pour les malentendants
. L'année dernière, ce sont deux élèves de 14 ans, Sakhiwe Shongwe et Bonkhe Mahlalela, du Swaziland qui sont arrivés en finale et ont inauguré le prix de la Science in Action avec leur projet
Unique Simplified Hydroponic
destiné à réduire la pénurie alimentaire au Swaziland. Cette année pour cette troisième édition, nous espérons encore une fois éveiller la passion pour l'exploration scientifique et recevoir encore plus de dossiers en provenance d'Afrique.
Voici quelques informations clés sur le concours Science Fair de cette année :
L'inscription des étudiants au concours peut se faire en
13 langues
.
La date limite d'inscription est le 30 avril 2013, à 23h59 PDT.
En juin, nous sélectionnerons 90 finalistes régionaux (30 pour la région Amériques, 30 pour la région Asie-Pacifique et 30 pour la région Europe/Moyen-Orient/Afrique).
Les juges sélectionneront alors les 15 grands finalistes, qui s'envoleront vers Moutain View (Californie), pour rejoindre le siège de Google, où sera diffusée en direct la finale du concours le 23 septembre 2013.
Lors de la finale,
un jury international éminent
composé de scientifiques renommés et d'innovateurs en technologie désignera un gagnant dans chaque catégorie d'âge (13-14, 15-16, 17-18). L'un des gagnants recevra le Grand Prix.
Cette année,
les récompenses
du concours Science Fair incluent une bourse d'étude Google de 50 000$, un voyage aux Galapagos offert par National Geographic Expeditions, des expériences uniques dans les locaux du CERN, de Google ou de LEGO et un accès d'un an aux archives de la revue Scientific American pour leur école. Scientific American décernera le prix
"Science in Action"
, ainsi qu'une récompense de
50 000$
à un projet abordant un problème social, environnemental ou sanitaire.
Deux nouveaux prix seront mis en jeu cette année :
En août, le public pourra découvrir les 15 finalistes à travers une série de Google+ Hangouts et votera ensuite pour le prix "Inspired Idea Award", qui récompense le projet offrant le plus grand potentiel pour changer le monde.
Nous savons que derrière chaque élève exceptionnel se cachent un très bon professeur et le soutien de toute une école ; c'est pourquoi, nous offrirons une récompense de 10 000$ ainsi qu'un Google+ Hangout avec le CERN à l'école du grand gagnant.
Enfin, nous accueillerons les
Google+ Hangouts on Air.
Ces Hangouts auront lieu les lundis, mercredis et vendredis et accueilleront des scientifiques renommés, parmi lesquels Dean Kamen et l'explorateur océanographique Fabien Cousteau. Les Hangouts montreront les coulisses des laboratoires de pointe et des équipements scientifiques, et permettront de faire connaissance avec les juges et l'équipe du concours. Nous espérons que ces Google+ Hangouts inspireront, guideront et soutiendront les étudiants à travers cette compétition et au-delà.
Lancez-vous dès à présent en cliquant sur
www.googlesciencefair.com
, votre idée peut changer l'Afrique, elle peut aussi changer le monde.
Publié par Sam Peter, Equipe de Google Science Fair
United Nations use Google+ Hangouts to Push Peace during the Kenyan Elections
Wednesday, January 23, 2013
En Français
We recently launched the
Google Elections Hub
to provide easily accessible voter information. Today, we are collaborating with the United Nations System in Kenya and other partners to launch a national interactive campaign that will rally Kenyans to peacefully participate in the upcoming general elections on March 4, 2013.
The
Sports 4 Peaceful Elections
campaign brings together the United Nations in Kenya, Google Kenya, IEBC (Independent Electoral and Boundaries Commission), NCIC (National Cohesion and Integration Commission), Kenya Premier League, Kenya Football Federation, Athletics Kenya and the Kenya Rugby Union under the rallying call ‘Shabikia Amani na Kura Yako’ (Support Peace with Your Vote).
Joe Mucheru, Google Kenya - Country Manager (far right) cutting the
Sports 4 Peaceful Elections
launch ribbon with Ms.Sahle-Work Zewde Director General, United Nations Office at Nairobi (UNON) and Prof. Karega Mutahi, Permanent Secretary (PS) in the Office of Deputy Prime Minister and Ministry of Local Government
Sports personalities from several disciplines, including football, rugby and athletics, will take part in this campaign using Google+ as the main social media platform. In these interactive Hangouts, the sports stars
shall engage and urge Kenyans to be “fans of peace” in the lead up and during the elections, in 41 days time.
The unprecedented post elections violence witnessed in 2007/8 has led to many Kenyans taking part in peace-related campaigns. With this campaign, we hope to complement these existing initiatives. Additionally, the vast digital space provides an opportunity for greater inclusivity, interactivity and reach to a diverse youthful population.
In Kenya, social media has been prone to instances of hate and dangerous speech. According to the
UMATI online monitoring report
for October 2012, there were 774 reported incidences of dangerous speech. The Sports 4 Peaceful Elections campaign will appeal for responsible commentary on social media as Kenyans use online tools during the elections period.
The campaign and Google+ Hangouts series will run for a period of 8 weeks. Feel strongly about peace in your local community? Then get involved and join the first of 9 Hangouts
here
.
Posted by Amanda Gicharu-Kemoli, Product Marketing Manager, Google Kenya
====
Les
Nations Unis utilisent les Hangouts de Google+ pour soutenir la Paix durant les élections kenyanes
Nous avons lancé récemment le
Hub électoral Google
pour fournir aux électeurs des informations électorales aisément accessibles. Aujourd'hui, nous travaillons en collaboration avec le système des Nations Unis au Kenya et d'autres partenaires pour lancer une campagne interactive nationale destinée à mobiliser les Kenyans autour des prochaines élections générales qui doivent se tenir le 4 mars 2013 et les encourager à y participer pacifiquement.
La campagne
Sports 4 Peaceful Elections
réunit les Nations Unies au Kenya, Google Kenya, les commissions IEBC (Independent Electoral and Boundaries Commission) et NCIC (National Cohesion and Integration Commission), la Kenya Premier League, la fédération de football du Kenya, Athletics Kenya et la fédération de rugby du Kenya autour du slogan "Shabikia Amani na Kura Yako" ("soutenez la paix en votant").
De grands sportifs issus de diverses disciplines, dont le football, le rugby et l'athlétisme, ont pris part à cette campagne en utilisant Google+ comme principal plateforme de média social. Dans ces Hangouts interactifs, les stars du sport interpellent et invitent les Kenyans à être “supporters de la paix" pendant toute la période électorale jusqu'aux élections qui se dérouleront dans 41 jours.
La vague de violence post-électorale sans précédent qui a secoué le pays en 2007/8 a motivé bon nombre de Kenyans à prendre part à ces campagnes en faveur de la paix. Et nous espérons que cette campagne sera un bon complément à leurs actions. De plus, le vaste espace numérique permet d'interpeller, d'atteindre et d'interagir davantage avec une population jeune et diverse.
Au Kenya, les média sociaux ont souvent eu tendance à servir de tribune à des discours dangereux et haineux. En effet, le
rapport de contrôle en ligne UMATI
d'octobre 2012 indique que 774 discours dangereux ont été constatés. La campagne "Sports 4 Peaceful Elections" appellera à diffuser des commentaires responsables sur les médiaux sociaux, car les électeurs kenyans utiliseront des outils en ligne pendant la période électorale.
La campagne et les séries de Hangouts Google+ tourneront durant 8 semaines. Vous avez envie d'œuvrer pour la paix dans votre communauté locale ? Venez rejoindre le premier des 9 Hangouts
ici
.
Posté par Amanda Gicharu-Kemoli, Product Marketing Manager, Google Kenya
Keeping Voters Informed Ahead of the Kenyan Elections
Thursday, January 10, 2013
En Français
The Internet is increasingly playing an important role in transforming the way citizens participate and engage in the elections across Africa, as we saw last year in
Senegal
and
Ghana
.
Next it’s Kenya’s turn, and March 4th 2013 will be a pivotal moment as Kenyan voters go to the polls to decide the country’s future. This will be Kenya’s first general election under the
new constitution
and following the post-election violence of 2007/8. Expectations are high both for a peaceful transition and a deepening of democracy under the new constitution. Voters are already turning to the internet for information: according to
Google Zeitgeist
, the IEBC (Independent Boundaries and Electoral Commission) was the top trending search in Kenya in 2012, and all the major candidates have a strong presence across the various social media outlets.
We want to help empower Kenyans with accessible and useful information during the upcoming elections so we’re launching a number of initiatives to make it easy for voters to find information and make their voices heard. We have
partnered with the IEBC to provide open source technology powering their
online voter tools
, including registration confirmation online and over SMS, mapping the polling stations, and a
developer API
. With so many constitutional changes including new boundaries, new elective seats, and a new voter registration, it is more important than ever to help keep Kenyans informed about the elective process. In addition to helping drive citizen engagement, we have trained local journalists, civil society and political parties on digital tools for elections, and partnered with local media organizations to support the use of Google+ Hangouts for
interviews with candidates
.
G+Hangout on GhettoFM with MikeSonko who is vying for Senator
And today we are launching the
Kenya Elections Hub,
a portal where voters, journalists and campaigns can track news, trends information related to the elections easily.
The Kenyan election will be closely followed both locally and globally in 2013 and as we head to voting day we will continue to work to keep Kenyans more informed about this critical process.
Posted by
Ory Okolloh, Google Policy and Government Relations Manager, Sub-Saharan Africa
====
Tenir les citoyens informés avant les élections au Kenya
Internet joue un rôle de plus en plus important dans la façon dont les citoyens participent et s'impliquent dans les élections à travers l'Afrique, comme nous avons pu le constater l'année dernière au
Sénégal
et au
Ghana
.
Le 4 mars 2013 c'est au tour du Kenya d'appeler les électeurs à se rendre aux urnes pour décider de l'avenir du pays. Il s'agira de la première élection générale du Kenya depuis l'adoption de la
nouvelle constitution
suite à la vague de violence post-électorale de 2007-2008. C'est dire si les attentes sont élevées tant pour assurer une transition pacifique que pour asseoir la démocratie dans sa nouvelle constitution. Les électeurs se tournent déjà vers Internet pour obtenir des informations : selon
Google Zeitgeist
, l'IEBC (Independent Boundaries and Electoral Commission) était en tête des recherches faites sur Internet au Kenya en 2012 et les principaux candidats affichent tous une forte présence sur les différents médias sociaux.
Nous voulons aider les Kenyans à prendre leur destin en main en mettant à leur disposition des informations utiles et accessibles pour les prochaines élections. C'est pourquoi nous lançons une série d'initiatives pour leur permettre de trouver facilement des informations et pour faire entendre leur voix. Nous nous sommes associés à l'IEBC pour leur apporter la technologie open source requise pour mettre en œuvre leurs
outils de vote en ligne
, notamment la confirmation d'inscription en ligne et par SMS, la carte des bureaux de vote et une
API développeur
. Avec les nombreux changements intervenus (nouvelles frontières, nouveaux sièges électoraux, nouvelle liste électorale, etc.), il est d'autant plus important d'aider les Kenyans à s'informer sur le processus électoral. Outre l'aide que nous apportons à l'engagement des citoyens, nous avons formé des journalistes locaux, la société civile et les partis politiques aux outils numériques pour les élections, et nous nous sommes associés avec les organismes des médias locaux pour soutenir l'utilisation des Hangouts Google+ pour
interviewer les candidats
.
Et nous lançons aujourd'hui le
hub élections au Kenya,
un portail où les électeurs, les journalistes et les candidats en campagne peuvent suivre facilement les dernières informations et les tendances relatives aux élections.
Les élections au Kenya seront suivies de près à la fois au niveau local et au niveau international en 2013 et, plus nous approchons du jour J, plus nous nous efforcerons de tenir les Kenyans informés de ce processus critique.
Post signé Ory Okolloh, Directrice des politiques et des relations gouvernementales de Google, Afrique sud-saharienne
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