Africa Blog
Google in Sub-Saharan Africa: news, stories and thoughts
Investing in Africa’s largest wind project
Tuesday, October 20, 2015
We’ve come a long way since we first started investing in renewable energy, committing more than $2 billion to 22 clean energy projects, and broadening our portfolio to include new regions like Africa. Since investing in
the continent’s largest solar project
, we’ve continued to see a big opportunity in fast-growing markets with rich renewable energy resources, where both the need and the potential are great. In fact, many countries are turning to renewables to help connect the nearly two-thirds of Africans that don’t have power today.
Today, we’re committing to invest in the
Lake Turkana Wind Power Project
in Northern Kenya, our second clean energy investment in Africa. When complete, Lake Turkana will bring 310 megawatts of clean energy onto Kenya’s grid—enough to power more than two million households across the country. Lake Turkana will help bring much needed capacity and stability to Kenya’s energy supply, reducing reliance on fossil fuels and emergency diesel generation while providing some of the most cost effective power in the country.
Google will join a diverse group of international investors in Lake Turkana,
including
the Overseas Private Investment Corporation, the U.S. government’s development finance institution, and
Vestas
, which is also supplying the turbines for the wind farm. We will purchase Vestas’ 12.5% stake in Lake Turkana once it comes online, becoming the first U.S. private investor to support the project.
Lake Turkana will use wind turbines like these, supplied by Vestas (photo courtesy of Vestas)
Kenya ranks among the world’s fastest-growing economies and has goals of universal energy access and increasing capacity of the grid by 5GW by the end of the decade. Lake Turkana can help meet these goals. It offers one of the best wind resources in the world in terms of speed and consistency, and once operational, will deliver capacity equivalent to about 15% of Kenya’s current grid. It will also spur additional energy development in the region through a 266 mile transmission line that is being constructed to support the project. This transmission line will act as a backbone for the Kenyan grid and enable further geothermal capacity to be developed in the country’s Rift Valley.
As an investor in both the largest solar photovoltaic (PV) and wind farm projects in Africa, we are as optimistic as ever about the potential for these investments to accelerate progress toward a
future of clean energy
. These efforts not only make business sense, they can help accelerate the deployment of renewable energy globally— including in emerging markets like Kenya, where there is an opportunity to have a transformative impact on the energy grid.
Posted by Rick Needham, Energy & Sustainability Director
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Investir dans le plus grand projet éolien d’Afrique
Nous avons parcouru beaucoup de chemin depuis notre premier investissement dans les énergies renouvelables, avec plus de 2 milliards de dollars investis dans 22 projets d'énergie propre et un portefeuille qui s'étend vers de nouvelles régions du monde telles que l'Afrique. Depuis que nous nous sommes engagés dans le
plus vaste projet solaire du continent
, nous restons persuadés que les économies en plein essor à fortes ressources en énergie renouvelable, représentent une formidable opportunité, parce que leurs besoins et leur potentiel sont immenses. En fait, de nombreux pays se tournent vers les énergies renouvelables pour essayer de raccorder pas moins des deux-tiers des africains qui n'ont pas accès à l'électricité aujourd'hui.
Aujourd'hui, nous nous engageons dans le projet éolien
Lake Turkana Wind Power Project
au nord du Kenya, notre deuxième projet d'investissement en énergie propre en Afrique. Une fois terminé, le projet Lake Turkana générera 310 mégawatts d'énergie propre au réseau kenyan, suffisamment pour alimenter en électricité plus de deux millions de foyers à travers le pays. Le projet de Lake Turkana contribuera à apporter la stabilité et la capacité en approvisionnement énergétique dont le Kenya a tant besoin, réduisant du même coup la dépendance aux énergies fossiles et le recours aux groupes électrogènes tout en produisant l'électricité la plus rentable du pays.
Pour ce faire, Google se joindra à un groupe d'investisseurs internationaux engagés dans le projet Lake Turkana, dont l'OPIC (Overseas Private Investment Corporation), l'institution financière de développement du gouvernement américain, et
Vestas
, qui fournit également les turbines du parc éolien. Lorsque le projet sera opérationnel, nous rachèterons les 12,5% de part de Vestas dans le projet Lake Turkana, et deviendrons de fait le premier investisseur privé américain impliqué dans le projet.
Le Kenya, qui fait partie des économies qui affichent le plus fort essor dans le monde, s'est donné un double objectif : disposer d'un accès universel à l'énergie et augmenter la capacité de son réseau de 5 gigawatts d'ici à la fin de la décennie. Le projet Lake Turkana peut l'y aider. En effet, le projet apporte l'une des meilleures ressources éoliennes au monde en termes de rapidité et de régularité et fournira, une fois opérationnel, une capacité équivalente à environ 15 % du réseau kenyan actuel. Ce projet, qui suppose la construction d'une ligne de transmission de 428 km, devrait également enclencher une dynamique de développement énergétique dans la région : la ligne de transmission servira d'épine dorsale au réseau kenyan et permettra de développer la capacité géothermique dans la vallée du Rift du pays
En tant qu'investisseur dans les plus grands projets solaires photovoltaïques (PV) et éoliens d'Afrique, nous sommes plus optimistes que jamais quant au potentiel de ces investissements à accélérer le progrès vers un
avenir énergétique propre
. Ces efforts ne constituent pas seulement une opération commerciale rentable, ils ont aussi pour vocation d'accélérer le déploiement des énergies renouvelables à travers le monde, notamment dans les économies émergentes telles que le Kenya, où ces projets peuvent avoir un fort impact en termes de transformation du réseau énergétique.
Publié par Rick Needham, Directeur, Énergie et Développement durable
Kenya’s cultural heritage is becoming universally accessible
Tuesday, October 13, 2015
From the heroes of Kenya, to the carvings and sculptures of the Shona of Zimbabwe, the Makonde of Tanzania and the Karamojong of Uganda to the calabash artwork of West Africa, internet users can now explore the diversity and richness of Africa’s culture and heritage on their desktop and mobile devices.
We’ve partnered with the Kenya National Archives & Documentation Centre to extend its efforts to preserve Africa’s cultural heritage. The result is the outcome of one of Google Cultural Institute’s biggest digitization projects on the continent. Today we’re launching 8 curated exhibits and more than 1,000 items on our platform.
Mashujaa Wetu
Kenya has her own heroes; men and women who cannot be forgotten because they made her who she is today.
I
mage and the exhibit
here
.
One highlight is the launch of the
Mobile App
of the National Archives of Kenya which provides access to a rich trove of rare artifacts, documents, and important stories to users. This is the first partner app in Kenya built with Google Cultural Institute technologies, and the third in Africa. With the launch of this App we intend to help more people understand what makes Africa such an amazing continent.
Mobile App available for download
here
.
African Carvings
They are carvings of wood, stone and metal most of which are showcased
here.
Whether it’s highlighting the
history of Lagos
, helping the world
retrace the steps of Nelson Mandela
or
preserving the diversity of dazzling african ceremonies
, Google’s Cultural Institute is helping to preserve and tell the story of Africa on a global scale. We are excited that users will be able to easily access these, and more, artefacts, stories and history of Kenya and the continent.
Posted by Charles Murito, Google Kenya Country Manager
====
Le patrimoine culturel du Kenya désormais universellement accessible
Des héros kenyans, aux sculptures d’art Shona au Zimbabwe, Makondé en Tanzanie et Karamojong en Ouganda en passant par l’art de la calebasse en Afrique de l’Ouest, les internautes peuvent désormais découvrir la diversité et la richesse du patrimoine culturel de l’Afrique depuis leur ordinateur et leurs appareils mobiles.
Nous nous sommes associés au Kenya National Archives & Documentation Centre (Centre national des archives et de la documentation du Kenya) afin de poursuivre les efforts de préservation du patrimoine culturel africain. Le projet de numérisation réalisé sous l’égide du Google Cultural Institute constitue l’une des initiatives les plus importantes lancées sur ce continent. Nous inaugurons aujourd’hui 8 expositions auxquelles s’ajoutent la présentation de plus de 1 000 objets sur notre plateforme.
Mashujaa Wetu
Le Kenya a ses héros, ces hommes et ces femmes qui sont restés dans la mémoire collective, car ils ont façonné le pays que l’on connaît aujourd’hui.
Image et
Exhib
ici.
Élément majeur de ce projet, le lancement de
l’Application mobile
des National Archives of Kenya (Archives nationales du Kenya) qui permet aux utilisateurs d’avoir accès à un véritable trésor comprenant des artefacts et des documents rares ainsi que des récits de grande valeur. Il s’agit là de la première application partenaire, la troisième en Afrique, réalisée au Kenya grâce aux technologies du Google Cultural Institute. Grâce au lancement de cette application, notre but est d’aider un plus grand nombre de gens à comprendre ce qui fait de l’Afrique un continent d’exception.
Sculptures africaines
Il s’agit de sculptures en bois, en pierre et en métal dont la plupart sont exposées
ici
:
Que ce soit pour illustrer
l’histoire du Lagos
, vous aider
à marcher sur les pas de Nelson Mandela
ou
préserver la diversité éblouissante des cérémonies africaines
, le Google’s Cultural Institute a pour mission de préserver et de raconter l’histoire de l’Afrique au monde entier. Nous nous réjouissons à la perspective que les internautes puissent accéder facilement à ces artefacts, à ces récits et à bien plus encore ainsi qu’à l’histoire du Kenya et de ce continent.
Publié par Charles Murito, Directeur pays, Google Kenya
Bringing fast, affordable broadband to Ghana with Project Link
Thursday, October 1, 2015
When it comes to Internet access, a basic connection is useful— but it’s abundant, affordable broadband that can transform communities and help people make the most of opportunities online. Take the Research and Education Network of Uganda (RENU), which provides infrastructure to connect universities across the country. Using capacity provided by Google’s Project Link, RENU has been able to make its network faster, more reliable, and better equipped to enable the easy exchange of ideas, remote research, and academic collaboration.
Since we first
announced
Project Link in Uganda, our work with partners like RENU has shown us what's possible, and we want to see more. That’s why today, we are expanding Project Link to Ghana, our first country in West Africa, so that we can work with local Internet service providers (ISPs) and mobile network operators (MNOs) to bring fast, reliable broadband to more people across the continent.
A map of the metro fiber network that we plan to build throughout Accra.
While
undersea cables
reach the coasts, the challenge remains to bring abundant bandwidth closer to Internet users in Ghana’s largest cities—Project Link aims to fill this gap in local infrastructure. Across Accra, Tema, and Kumasi, Project Link will build more than 1,200 kilometers of fiber to connect local ISPs and MNOs to metro-area fiber networks. By giving them more speed and capacity to work with, providers can meet the growing bandwidth demands of Ghana’s mobile phone users, schools, and businesses.
Entrepreneurs at Ghana’s
Meltwater Entrepreneurial School of Technology (MEST)
. MEST provides resources for aspiring technology entrepreneurs.
Since we launched Project Link in Kampala, we’ve built over 700 kilometers of fiber across the city. Now, we are working with a dozen local ISPs and MNOs, such as
Vodafone Uganda
and
One Solutions
, to improve the quality of Internet access in Uganda’s capital. Providers have been able to expand new services, such as 4G, and deliver speeds that can support the best of the Web. Local startups like Fezah and
Laboremus
are taking advantage of these new offerings so that they can use the latest technologies to scale.
In Ghana, we’ll be building in multiple cities at once for the first time, with plans to grow the network to nearly twice the size of our first network in Kampala. We’ve already started construction in Accra, with Kumasi to follow soon, and we plan to start service in early 2016. There’s a lot of work ahead, but we look forward to working with local providers to ensure that Ghana’s local infrastructure can help its people and businesses participate fully on the Web and be inspired by what they can do online.
Posted by Estelle Akofio-Sowah, Google Ghana Country Manager
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Un accès à Internet rapide et abordable pour les ghanéens avec Project Link
Pour accéder à Internet, il suffit d’une connexion basique. Mais pour vraiment transformer des communautés et tirer parti des opportunités qui s’offrent en ligne, il faut disposer d’une large bande passante à un prix abordable. Prenez le cas du Réseau d’éducation et de recherche de l’Ouganda, le RENU (
Research and Education Network
of Uganda), qui fournit l’infrastructure pour connecter toutes les universités du pays. Le RENU a réussi à améliorer son impact en utilisant la capacité apportée par l’initiative
Project Link
de Google. Aujourd’hui, son réseau est plus rapide, plus fiable et mieux équipé pour faciliter l’échange d’idées, les recherches à distance et la collaboration universitaire.
Depuis que nous avons
lancé
Project Link en Ouganda, notre travail avec des partenaires comme RENU a montré ce qu’il était possible de faire et ce que nous avons envie de développer. C’est la raison pour laquelle nous lançons aujourd’hui l’initiative Project Link au Ghana, notre premier pays en Afrique de l’Ouest. Nous travaillerons avec les fournisseurs de services Internet (ISP) et les opérateurs de réseaux mobiles (MNO) locaux pour apporter une bande passante fiable et rapide à de plus en plus de monde à travers le continent.
De même, si les câbles sous-marins permettent d’atteindre les côtes, il faut encore trouver le moyen d’acheminer une bande passante suffisante jusqu’aux internautes des grandes villes du Ghana. L’initiative Project Link est là pour combler ce manque d’infrastructure locale : Project Link va installer à travers Accra, Tema et Kumasi, plus
de mille
deux cents
kilomètres de fibres pour raccorder les ISP et les MNO locaux aux réseaux de fibres de la zone urbaine. Avec plus de débit et de capacité, les fournisseurs vont pouvoir répondre à la demande grandissante en bande passante des utilisateurs de téléphones mobiles, des écoles et des entreprises du Ghana.
Depuis le lancement de Project Link à Kampala, nous avons installé plus de 700 kilomètres de fibres et travaillons aujourd’hui avec une dizaine de ISP et de MNO locaux, dont
Vodafone Uganda
et
One Solutions
, dans le but d’améliorer la qualité de l’accès à Internet à travers la ville. Les fournisseurs ont ainsi pu élargir leur offre avec de nouveaux services tels que la 4G et assurent désormais des débits suffisants pour donner accès au meilleur du Web. Des start-ups locales telles que Fezah et
Laboremus
se sont emparées de ces nouvelles offres pour se développer efficacement grâce aux toutes dernières technologies.
Au Ghana, nous allons pour la première fois déployer l’initiative dans plusieurs villes en même temps. Nous prévoyons de presque doubler la taille de notre premier réseau installé à Kampala. Nous avons déjà entamé la construction à Accra, Kumasi suivra bientôt, et nous planifions la mise en service pour début 2016. Il reste encore beaucoup à faire, mais nous sommes impatients de commencer à travailler avec les fournisseurs locaux pour apporter à la population et aux entreprises du Ghana l’infrastructure locale nécessaire pour pleinement exploiter le potentiel du Web.
Publié par Estelle Akofio-Sowah, Responsable Pays Google Ghana
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